Il était une fois… Noel
Lorsqu’on vient d’avoir 6 mois, on est encore un tout petit bébé. Mais pour un blog c’est le début de l’enfance, le moment où l’on a des rêves de grandeur, l’époque de l’insouciance et des histoires que nous raconte mamie pour nous faire dormir. C’est donc dans cette logique que les rédacteurs de AMHA.fr se sont associés pour vous raconter une histoire sur chacun d’entre nous. Bonne lecture et merci à vous de nous avoir permis d’exister jusqu’ici.
L’équipe AMHA.
Follow the yellow brick road
L’autre matin, j’errais hagard dans la rue, le cerveau encore embrumé par les vapeurs d’alcool. C’était le jour des encombrants, donc les gens avaient vidé leurs caves de toutes sortes de choses inutiles. C’est alors que dans un monceau d’ordure un détail attira mon attention. Une tête de robot ressortait du tas. Ne sachant pas trop pourquoi, je me décida à y jeter un coup d’œil. En dégageant un peu la tête, je vis qu’il y avait également tout le corps avec. J’avais l’impression d’être Indiana Jones découvrant les vestiges d’une civilisation perdue. Comme le monstrueux vaisseau vert fumant des éboueurs approchait et que je ne pouvais pas laisser cet être mécanique à une fin atroce, je l’embarquai en quatrième vitesse jusqu’à chez moi. Une fois à la maison, je pris ma boîte à outils et mon manuel des castors juniors et je commença à le réparer.
Après deux jours de travail acharné, il fut temps de remettre le contact. Une vague d’angoisse me submergea alors… Peut-être faisais-je une grave erreur ? J’allais peut-être redonner vie à un monstre sanguinaire voulant conquérir notre monde ?
Rien ne se produit. Je suis déçu, je m’étais imaginé tout les scénarios possible sauf celui où je ne serais pas capable de le réparer. Je le fixe 5 minutes d’un air dépité, espèrant un signe de vie, mais rien. Je me lève et vais me préparer un chocolat pour me consoler. En sortant de la pièce, j’entends un bip électrique, puis un grincement mécanique. Je me retourne et vois mon robot tourner la tête vers moi.
— He’s alive, ALIVE ! AH ! AH ! AH !
Je danse de joie autour de lui, sa tête suit mon mouvement, comme s’il était doué d’une forme d’intelligence.
— Jour bon E8 se juis R4… mise à jour système de langage… Bonjour, je suis E.R.84.
Je fais un bon de 15 mètres de haut. Qu’ai-je donc fait ?
— Euh… Salut, ça va ?
— Qui es-tu, humain ?
— Moi ? Je ne sais pas, j’ai jamais su en fait.
— Tu n’as pas de numéro de série..?
— Tu veux dire de « prénom ». Non je n’en ai pas, je suis arrivé ici et je suis resté.
— Où est la route de briques jaunes ?
— Pardon ?
— J’ai vu un autre robot dans votre boîte à images qui allait voir un homme pour qu’il lui donne un cœur, mais il devait suivre la route de briques jaunes. Moi aussi je cherche un cœur, ça m’aidera peut-être à vous comprendre, Humain.
— Mais pourquoi tu t’es retrouvé dans une poubelle ?
— Je marchais dans la rue à la recherche de la route de brique jaune quand je suis tombé en panne de batterie. Sais-tu où elle est ?
— Désolé mais elle n’existe pas, c’est un film que tu as vu à la télé.
— Un film ?
— Une fiction.
— Oh ! Donc il n’y a pas de monsieur Oz.
— Désolé.
— Qu’est-ce que je vais faire alors ?
— Tu peux rester ici si tu veux. Je ne connais personne, ça me fera de la compagnie.
— Pourquoi pas.
Je lui montre alors un vieil ordinateur qui traine dans un coin.
— Tu sais ce que c’est, « Internet » ?
— Non.
— C’est une plateforme informatique où les gens du monde entier peuvent s’échanger des informations. Si tu cherche dessus, tu comprendras peut-être ce que sont les humains. Moi j’essaye de trouver mon prénom. Ca pourrait être amusant de faire ça à deux.
— C’est un raisonnement judicieux.
On installe ensemble l’autre ordinateur… Notre quête identitaire vient de commencer.
AW
Furfur, le génie du divertissement
Jayer est un jeune homme de 14 ans aimant les mangas (kaméhameha) et la dance ( bailando bailando… amigos adios…). Au cours de ses années de collège en région Parisienne, sa vie changea grâce à sa rencontre avec Furfur.
Cela devait être un mardi ou un mercredi, bref un jour d’école. Je venais de changer d’établissement et je n’avais donc pour ainsi dire pas d’amis dans ce nouveau collège. Les cours étaient fastidieux et les récréations bien longues. Les toilettes du collègues étaient reconnues pour leurs vertues divertissantes (remontées d’égouts, chasse d’eau en panne… ) mais une légende voulait que s’il l’on mettait une canette dans la cuvette, notre voeu se réalisait.
Je pris donc une canette de Coca et la plaça au fond de la dite cuvette… rien… peut être devrais-je tirer la chasse ?
Un vrombissement se fit alors entendre et les murs se mirent à trembler. Je sortis in extremis de ces chiottes avant qu’elles n’explosent et déversent leurs déjections dans toute la cour.
Mais mon voeu d’être cool et d’avoir des amis ne semblait pas avoir été exaucé ?
Pourtant une main vint se poser sur mon épaule. Etait-ce la surveillante madame Poireau (dont l’acronyme s’inspirait directement de la verrue qu’elle portait si fièrement sur le visage) ? Non, à ma grande surprise, c’était un garçon qui semblait plus âgé (avec une barbe naissante) et qui riait aux éclats.
- Yo ! Je suis Furfur, je suis un mauvais bon génie, comme tu m’as fait rire je peux exaucer un de tes voeux
- Hum… je suis peut être naïf mais là c’est limite… tu peux prouver ce que tu avance ?
- Ouais fais un voeu.
- Ok, je veux avoir des amis !
Je ne savais pas encore à quel point ce voeu changerait ma vie. Furfur sortit trois objets de son sac : l’exemplaire N°1 du comic book Spawn, le double CD Thunderdom — volume XIII et un pack de cartes à jouer Magic l’Assemblée.
- C’est quoi ce truc (désignant le Spawn) ?
- Et bien, de la lecture intelligente et bien dessinée qui te permettra de rencontrer d’autres fans
- Mais je lis des mangas (je sortis mon dernier exemplaire de Fly/Dragon Quest ) ! (N.B. : les fans de mangas n’existaient pas encore sous forme de communauté à cette époque, l’internet démarrait tout juste et le club Dorothée venait de s’éteindre)
- De la merde ! ! !
- Et ça c’est quoi ?
- De la musique qui bouge, qui te fera découvrir de nouvelles cultures et qui te permettra d’appréhender le monde de la nuit quand tu sortiras
- Mais j’écoute déjà de la bonne musique : un dos tres, un pasito bailante maria.
Furfur me vomit dessus…
- Et des cartes ? Je joue déjà au Rami avec mon père.
Les yeux globuleux de Furfur se mirent à briller tel le loup devant la brebis.
- Ce jeu, mon petit, est LE jeu qui te fera avoir des amis et rencontrer pleins de gens
Quelques semaines plus tard, j’écoutais dans mon lecteur CD le nouveau Thunderdom mais également le deuxième album d’un groupe encore peu connu appelé Offspring. Mes soirées étaient agrémentées de lectures telles que Spawn, Batman, Superman et autres héros de Comics (mais je n’avais pas pour autant lâché mes précieux mangas que je lisais en cachette). Enfin, mes récréations furent finalement les moment les plus intéressants de la journée à jouer aux cartes Magic, me permettant également de rencontrer des gens aux pseudonymes venus d’outremonde tels que Papyvoine, Bitedane ou encore Mulder.
Mais surtout je me fis mon premier ami dans cette jungle qu’est le collège… Furfur.
Jayer
AMHA Inc.
La lourde porte aux battants dorés s’ouvrit sans un bruit. Le petit nez retroussé de Mme Pinch passa par l’encadrure, avant de laisser place à ses grandes lunettes aux bords trop larges.
— Monsieur Jayer ? Le… Monsieur E.R.84 est arrivé.
— Faites-le entrer, je vous en prie.
L’homme qui venait de répondre se tenait face à la grande baie vitrée donnant sur le Paris de 2036.
Intelligent, beau, éloquent et surtout très riche, Jayer l’archimilliardaire se perdait dans une absente contemplation de la vie qui grouillait 70 étages plus bas. Silhouette droite et entretenue, costume-cravate taillé sur mesure, boutons de manchettes “HxH” en diamants de Venus la Blanche, il mesurait son succès à l’aune des publicités holographiques qui poussaient tel des champignons dans la moiteur de la jungle urbaine. Partout, on pouvait apercevoir son sourire impeccable et ses yeux qui faisait tourner la tête des femmes de la galaxie connue.
Que demander de plus à la vie ? Il avait tout, de la femme élue “Miss Système Solaire” dix années consécutives à la plus belle villa sur Zeugma–4, en passant par le contrôle des 2/3 des produits de consommation terriens. Pourtant, depuis quelques années, il sentait que son bonheur n’était pas parfait. Il manquait quelque chose. Un petit détail…
Ses pensées furent interrompues par le bruit d’un pas métallique résonnant dans l’immensité de la pièce. Jayer se retourna, lentement, pour embrasser du regard son bureau tout en jaugeant le nouvel arrivant. Un sourire assuré se peignit sur les lèvres du C.E.O. lorsqu’il aperçu la maigre créature qui se trouvait à l’opposé de lui, visiblement hésitante, perdue parmi les rayonnages des archives Pré-Millénium qui tapissaient les murs de la salle.
Un robot, c’était bien ça. Etrange… Qu’un tel être puisse être la solution à ses interrogations. Son dossier était béton, il était temps de voir ce qu’il en était.
— Monsieur… E.R.84 ?
- Oui. Bonjour, je m’appelle E.R.84, enchanté de vous rencontrer, Hello how are you, como estas, buongiorno, konnichiha !
— Mmm.. Il semblerait que votre dernière révision date quelque peu.”
— Révision : n.m. « Action d’examiner de nouveau en vue de corriger ou de modifier — Mise à jour. » Ah. Oui. En effet, Monsieur. Pardonnez-moi.
— Peu importe, peu importe.. Asseyez-vous je vous en prie.
Dans un chuintement de pistons hydrauliques, la machine s’exécuta puis fixa l’homme de ses prothèses oculaires. Ses mains métalliques se posèrent lourdement sur la table en marbre rare. Il semblait attendre un signe pour entamer la discussion.
— Vous avez un crédit de 30 0000 0000 Unité Monétaire pour votre recherche, monsieur E.R.84.
— Pardon ?
— Ajoutez à cela toute l’infrastucture déjà en place et mes meilleurs programmateurs à votre disposition.
— Pardon ?
— Plus, bien entendu, un logement de fonction pour toute personne s’impliquant de près ou de loin dans votre recherche.
— Pardon ?
L’absence de répondant de cette machine avait tendance à agaçer l’homme d’affaires, qui commençait à se demander si donner de tels moyens à ce robot était un choix perspicace.
— Je vous aprle de votre projet ! La recherche du sens de la vie, de la nature humaine, tout ça ! C’est pas du flan, non ?
— Non. Le flan est un dessert dont il existe plusieurs variantes :
- Flan aux œufs
- Flan aux œufs au chocolat
- Flan pâtissier
— Suffit !
Un léger déclic se fit entendre, et E.R.84 répondit d’une voix dont les modulations avaient été conçues pour reproduire une tonalité enjouée.
— Oh ! Mes capteurs m’indiquent que votre système émotionnel vous joue des tours. Ne vous en faites pas, j’ai bien compris ce que vous vouliez dire, l’expression locutoire “pardon” n’était pas appropriée. Veuillez m’excuser. Je reformule la requête… Pourquoi ?
— Pourquoi ? Parce que tu as beau être plein de bonne volonté, tu n’es qu’un robot dépassé, détraqué ! Te rends-tu comptes que ton experience est vouée à l’échec si tu ne communiques pas toi-même avec les hommes ? La réponse ne sera pas dans des bases de données tu sais.
Il te faut des recherches, mais il te faut aussi des interlocuteurs… Un public, des consommateurs, des lecteurs ! A partir desquels tu pourras établir des statistiques, avoir des résultats ! Connaître ton public, le potentiel de développement de ton entreprise ! En recoupant réseaux sociaux et culturels nous pourrons peut-être avoir réponse à nos questions ! Pour étudier le système, il faut savoir en faire partie… Pour cela, tu as besoin d’un support matériel, de connaissances techniques, d’informations sur des domaines que je maîtrise. De mon côté j’ai besoin d’un soutien moral, d’une aide extérieure ou d’un esprit comme le tien pour organiser une entreprise aussi insensée…
Ces questions, tu n’es pas le seul à te les poser. Je n’évolue qu’avec des requins qui ne pensent qu’à leur profit et au luxe d’une vie oisive… Etrangement, la nature humaine n’a fait que me décevoir. C’est peut-être en désespoir de cause que je me tourne vers un vieux robot détraqué ?
Le robot acquiesçait silencieusement, laissant à Jayer le temps de reprendre son souffle. L’énervement s’était visiblement mué en enthousiasme, et il brandissait maintenant frénétiquement un dossier électronique sous les circuits optiques de E.R.84.
— Tu sais quoi ? Ta recherche, on va en faire un véritable projet, une étude sociale sans précédents, un puits de connaissance pour l’humanité !
J’ai pensé à tout, on pourra s’y plonger tous ensemble, et avec les outils adéquats pour une performance maximum !
J’ai déjà le nom pour ça…
Le Projet AMHA. T’en dis quoi ?
E.R.84
Ceci est un extrait des 15èmes aventures de AW : « AW et le téléporteur aux enfers »
[…]
AW, adossé à sa chaise, les jambes croisées nonchalamment sur son bureau, regardait tous ses trophées d’un air emprunt de nostalgie. Agent Spécial au service direct de la reine Victoria, il avait par le passé rendu bien des services à sa mère patrie, le Royaume Uni. De chacune de ces campagnes, il avait ramené un souvenir; sa pièce de travail ressemblait maintenant plus à un musée qu’à autre chose. Ainsi, ce crâne de singe, vestige de sa mission sur la colonie australienne où, non content de mater une rébellion de la chiourme, il avait travaillé main dans la main avec le jeune naturaliste Darwin pour découvrir le chaînon manquant de l’espèce humaine. Une mission passionnante, qui se serait interrompu bien vite s’il n’avait réussi à prouver sa valeur aux tribus aborigènes…
Où encore, cette réplique à l’identique de la constitution Suisse, qu’il avait aidé à mettre en place il y a moins de six mois.
Six mois déjà ? Le temps commençait à paraître long à AW, agent spécial, vivant pour le risque et sa patrie, travaillant dans l’ombre, se moquant bien de la renommée qu’il n’aurait jamais. Six mois sans mission, à se morfondre dans un tranquille travail de bureau. Il avait fait le choix de sacrifier son bonheur personnel pour servir sa majesté, choisissant une vie d’aventure et d’anonymat au détriment d’une vie de famille. Et malgré son succès avec les femmes, il regrettait encore parfois une stabilité qu’il ne connaîtrait jamais… Alors si on ne l’envoyait pas sauver le monde civilisé, quelle valeur avait son engagement ?
Bon, c’était décidé, il allait réclamer quelque chose, frapper à toutes les portes, aller voir directement sa reine s’il le fallait, jusqu’à ce qu’on lui fournisse quelque chose pour occuper ses journées.
AW déplia ses jambes, s’appuya sur les accoudoirs pour se relever. Il se dirigea de son pas agile et silencieux vers la penderie de bois massif, importée de France — pourtant pays ennemi. Ouvrant le battant droit, AW retrouva avec plaisir sa collection de costumes qui lui permettait de se glisser dans la peau de n’importe qui.
Cette penderie constituait en réalité l’essentiel de son travail. Interpréter la bonne personne au bon moment permettait d’accomplir de grands résultats sans effusions de sang. Parfois, cela ne suffisait pas, et AW était bien équipé : un revolver Paterson 5 coups venu des Amériques et un poignard italien faisaient de lui une véritable machine à tuer en cas de coup dur.
Sur la porte de la penderie était accroché un petit miroir et lorsque l’agent secret s’y observa, il découvrit son visage habituel : suffisamment beau pour retenir l’attention des femmes désirant une histoire d’un soir, suffisamment passe-partout pour être vite oublié dans les situations les plus critiques. Son crâne était recouvert d’une épaisse crinière noire, et, seule marque de coquetterie, une fine moustache recouvrait depuis des années sa lèvre supérieure.
Satisfait de son inspection, AW refermait son armoire quand deux coups retentirent à la porte.
— Entrez.
Son secrétaire, hors d’haleine, ouvrit la porte rapidement tout en commençant à débiter à toute vitesse :
— Monsieur monsieur c’est horrible une nouvelle menace s’attaque à nouveau à notre merveilleuse Londres et je ne sais pas quoi faire, personne ne veut me prendre au sérieux et…
— Ralentis et raconte moi tout depuis le début, coupa abruptement AW, quelque peu irrité par ce manque de tenu.
— Et bien, vous n’êtes pas sans savoir que les sociétés secrètes ésotériques s’agitent ces derniers temps ?
— Oui je sais bien, mais je croyais à une fausse alerte ? Quelque chose à voir avec la transmutation du plomb en or, mais j’y avais mis bon ordre lors de ma dernière mission…
— Tout à fait monsieur ! S’excitait le jeune clerc, Vous avez fait un travail merveilleux comme à chaque fois ! Mais je tiens de source sûre que ce n’était qu’une diversion.
— Viens-en au fait mon garçon, dit AW qui commençait à s’impatienter, énervé à l’idée d’avoir peut-être manqué une information vitale l’or de l’assignement en question.
— Et bien… pendant toute cette effervescence, un petit groupuscule français s’est introduit à Londres et… A mon humble avis, leur but est de rouvrir le portail aux enfers situé sous la capitale !
— Des français ? Dans ma ville natale ? Je ne permettrais pas ça ! Je prends mon manteau et j’arrive !
[…]
Redwarp
En espérant que nos petits récits vous auront plus (si c’est vraiment le cas, peut-être verrons-nous fleurir des suites, qui sait ? ), voilà diverses sources d’inspiration, plus ou moins évidentes, qui ont pu guider l’imaginaire de nos très chers auteurs à bon port.
- The Wizard of Oz
- Aladdin de Walt Disney
- Le très bon livre La Ligue des Héros ou comment Lord Kraven ne sauva pas l’Empire
- Un merci à Erwann Surcouf, qui nous a prêté une belle image lovecraftienne venant de son Blog
Bien à vous,
L’Equipe d’Amha.
L’histoire de jayer est ma préféré et j’aime bien la fin de celle de redwarp.
Les autres sont bien aussi ^^
Celle de Jayer ou celle avec Jayer ? 🙂
Merci en tout cas ! 🙂
celle de Jayer (dans laquelle il est aussi 😉
D’une pierre deux coups ! 😀
J’ai en tout cas pris beaucoup de plaisir à écrire et lire mes collègues… Espérons que cette expérience puisse se renouvellera ! 🙂
Je dis haha bien-bien, continuez à bosser les djeuns !
j’ai beaucoup ri, Jayer. Et l’image du génie d’Aladdin illustre bien 🙂
J’aime bien la fin de celle de Jim.
Tous vos styles d’écriture sont sympas 🙂
Yeahhh xD marrant que tu relises ces vieux articles maintenant xD