Stranger of Paradise – Final Fantasy Origin – 🎵 Tout est CHAOOOOOOS à côtééééééééé 🎵
Depuis quelques années, un nouveau genre de d’action RPG est devenu la coqueluche des joueurs en quête de challenge: Les Souls-like. Genre phare de From Software, d’autres s’y sont frottés, et c’est le cas de Square Enix (ou plus exactement Koei Tecmo) avec Stranger of Paradise Final Fantasy Origin. Stranger of Paradise reprend l’univers de Final fantasy premier du nom et en fait donc un Souls-like dernier cri, avec en prime un système de jobs tel qu’on a l’habitude d’en voir dans les FF. L’équipe à l’origine des Nioh fournit ainsi son savoir-faire inégalé niveau gameplay pour nous concocter un jeu tel qu’on en voit beaucoup ces derniers temps, mais à la fois comme on en a jamais vu. Ou du moins pas exactement.
Nous suivons trois guerriers, dont le meneur, Jack s’est mis en tête de TUER CHAOS. Retenez bien. Il veut TUER CHAOS. Vous avez compris ? TUER CHAOS. Je répète pour celles et ceux qui n’auraient pas suivi. IL VEUT TUER CHAOS. Capiche ? Bon. C’est tout, niveau scénario. Première fois que le titre d’un jeu (Stranger of Paradise Final Fantasy Origin) est plus long que son synopsis. Mais comme souvent, le voyage est plus important que la destination. Et ce voyage il passe par un système de Jobs comme seuls Square Enix savent en concocter. Ici, pas d’âmes, pas de runes, pas d’éclats de sang, de simples points d’expérience qui permettent de gagner des niveaux de job et d’apprendre des aptitudes, et parfois aussi, de nouveaux jobs. L’hameçon, le facteur d’addiction sera ici le fait de pouvoir équiper deux jobs à la fois et ainsi de confectionner soi-même la manière dont on aura envie de jouer (sans compter les completionnistes comme moi qui voudront maîtriser tous les jobs pour compenser les lacunes de leur CV).
Sorti à l’origine sur l’Epic Games Store, Stranger of Paradise est maintenant enfin disponible sur Steam. Malheureusement, cette mouture n’est pas encore bien optimisée malgré le temps qu’ils auraient pu y consacrer, et l’ayant moi-même attendu pour y jouer sur Steam Deck, j’ai à déplorer la compatibilité et l’optimisation absolument inadmissible, mais réparable, au moyen d’une ligne de code, mais à quel moment ai-je débloqué le job d’informaticien dans la vraie vie ? Espérons que des mises à jour arrivent et réduisent les problèmes. Quoi qu’il en soit et malgré son scénario qui ne prend sens qu’à la toute fin, Stranger of Paradise a des tonnes de choses à vous faire découvrir, pour peu que les bugs ne vous importunent pas.
Je vous laisse, je repars TUER CHAOS.
